Suite : La Traque

HRP: attention : Nenya est un aigle, pas un faucon et je ne suis pas son maître mais son amie. Et Enduril n'est pas très belle vu la cicatrice qui barre son visage...


Après l'explosion du mur de verre, Enduril se sentit vaciller... Elle savait qu'elle n'aurait pas du prendre ce mur à la légère et l'effort qu'il fallait pour le détruire, mais ce qui était fait est fait... Mais elle crut entendre Gandalf qui lui disait une phrase souvent répétée...
"Je te l'avais bien dit... Tu as donc un rocher à la place de ta tête ?"
Un des Elfes s'avança vers elle et lui demanda qui elle était et les motifs de sa présence.
En Elfique... elle ne connaissait que quelques phrases simples...
"Elen dil" (->ami des elfes) lui répondit -elle.
L'Elfe sembla se détendre un peu, et une autre belle Elfe vint à ses côtés et tout en souriant lui traduisit ses paroles... en Ouistrain.
Etonnée et ravie d'entendre une Elfe parler sa langue maternelle, Enduril lui répondit aussi clairement qu'elle pouvait, en résistant à l'envie de s'allonger au creux d'un arbre et de piquer un somme bien mérité...
"Non, je ne suis pas une ennemie..."
"Ce que je fais ici? On pourrait dire que je me promène mais en fait je cherche à aider ceux qui sont dans le besoin..."
Un autre Elfe sembla se rendre compte de la fatigue de la Rodeuse et interrompit l'Elfe Anglas, qui entre temps lui avait dit son nom... Enduril fut reconnaissante à cet Elfe qui avait interrompu l'interrogatoire qui commençait à lui donner le vertige et remarqua en passant qu'il n'avait pas d'armes. Elle pensa à la hache qu'elle avait piquée un un Orque ( qui l'avait probablement volée lui-même car cette hache n'était pas de fabrication Orque )
Peut-être qu'il en ferait un bon usage... ( pour Enduril, tout ce qui tue, coupe, décapite un Orque est synonyme de "bon usage" )
Elle entendit les bribes de conversation que les autres compagnons tenaient plus loin.
"... blablabla... nécromancien..."
Le sang de la Rodeuse ne fit qu'un tour...
Sa main se crispa sur son bâton.
Deux des fils de Thranduil ( qui en passant est un excellent ami alors m'embête pas sinon je dis à papa ) accompagnés d'autres Elfes et d'humains...
"Pourrais-je vous accompagner, Anglas, fils de Thranduil?"
Elle devina qu'ils étaient à la recherche de quelq'un... mais ne savait pas qui.
Mais pour l'instant la nuit tombait et il fallait installer un campement.
"Vous pouvez avoir confiance en moi, je prendrais le deuxième quart de veille, si vous le voulez bien..."

HRP: Hou les belles gaffes que j'ai fait...
C'est arrangé et j'espère ne plus les refaire ( là ce serait le bouquet )
Pour l'Elfique... j'y arrive pas ! D'accord dans mon historique je suis censée avoir des racines Elfiques mais je suis nulle pour la langue
Hum en passant quelqu'un de gentil pourrait-il m'envoyer un MP résumant l'histoire et les membres de la compagnie? ( en précisant les races si possible svp )
Sinon je gafferai comme maintenant ( honte honte )
->

avec tout le respect que je vous dois, cher Maître, vous avez sans doute voulu dire "ami des Elfes" se dit Elendil en "Quenya", because en Sindarin, j'aurais plutôt dit : "Edhil Mellon".

Mais vous avez des excuses, 20 h 53 : le Miruvor commence ses effets. Oups pardon, j'ai failli oublier que vous ne buvez pas... Donc, on va dire.... la feuille de langoulet ???

Autre petit bémol : je pense moi que les Dunedain parlaient couramment le Sindarin en plus du Ouestrain, car ils étaient fidèles aux Elfes à l'inverse de leurs congénères de Numenor, et du coup, ils n'aimaient pas l'Adunaic qui avait été déclaré langue officielle pour em.... er les Elfes.

Glaurfinn

Défends-toi, on t'a traité de "Nain", toi la future élite des Elfes de Mirkwood....

Mademoiselle, vous nous faites perdre du temps répondit brusquement Bregoll en Ouistrain puisqu'Anglas était bouche bée devant cet "elfique" qu'il n'avait encore jamais entendu jusque là. Bregoll lui l'avait entendu. Certains humains avaient la fâcheuse manie de croire qu'ils parlaient soit le Sindarin, soit le Quenya, ou les deux, en ayant fait deux semaines d'entraînement intensif auprès d'officines de langues plus ou moins douteuses. Ca leur avait coûté beaucoup d'argent, et on voyait le résultat : "Elv Alfuinë". Etonnant non ?
Mais ceci dit, cette jeune fille était charmante et sa balafre la mettait en valeur, Bregoll aimait beaucoup ces visages marqués par le combat. Il lui pardonnait donc ses faiblesses linguistiques.
Le Prince a dit que ceux qui voulaient l'accompagner pour retrouver son jeune frère pouvaient se joindre à lui. Vous êtes donc dans le groupe de ceux qui vont vers l'innommable.
- Cund, ir anirach han, i vellyn lîn irar baded : Prince quand vous le souhaiterez, vos amis sont prêts, ajouta-t-il en Sindarin

Anglas entendit le message de Legolas dans son esprit, il lui répondit qu’il approuvait sa décision, et cela aurait dû être fait depuis longtemps même, s’il n’y avait pas eu une fronde contre lui, Idrial serait revenue à temps avec des troupes fraîches, et son frère serait en sécurité au Palais. Mais avec des « si »….
En même temps, il entendit les mots bizarres prononcés par l’Humaine magicienne pour se présenter, il ne savait que penser, ce devait être son nom ! Il allait dire « enchanté, Mademoiselle Elv Alfuine » lorsque Bregoll intervint en lui parlant en Ouestrain.
Ce Noldo l’énervait un peu mais il devait reconnaître qu’il avait raison, il fallait partir tout de suite et ceux qui voulaient venir suivraient. Il dit à Solosimpë :
Bon, on y va ?
Solosimpë répondit qu’il partait avec Legolas, car il venait de se souvenir qu’il avait un truc très important à faire au palais. Anglas était content dans le fond, son serviteur et ami avait assez donné de sa personne. Il lui prit le sac qui contenait quelques provisions et se tourna résolument vers Bregoll qui l’attendait.

HRP: vous foutez pas de moi avec ce fichu Elv Aelfuine...
Je vous rappelle qu'un sort comme celui-là rend quelque peu...

"Mademoiselle, vous nous faites perdre du temps"
Enduril faillit rétorquer qu'ils en auraient perdu encore plus si elle n'avait pas fait sauter la barrière mais se retint: elle avait cotoyé ce genre de rudes guerriers, qui cachaient leur bon coeur sous des paroles dures.
"Le Prince a dit que ceux qui voulaient l'accompagner pour retrouver son jeune frère pouvaient se joindre à lui. Vous êtes donc dans le groupe de ceux qui vont vers l'innommable."
La Rodeuse se leva soudain. Toute sa fatigue semblait s'être évaporée. Car la haine peut parfois remplacer une nuit de sommeil ou un coup de fouet.
"Ce sera un honneur de faire partie d'une compagnie au but si honorable.
Mon épée est à votre service, messire, dit-elle en se retournant vers le prince de Mirkwood, ainsi que mon bâton. Nous partirons donc maintenant."
Puis elle se retourna et siffla trois notes brèves.
Le bruissement d'ailes se fit entendre et Nenya se percha sur un arbre proche.
Puis un galop étouffé résonna dans la foret, Hasufel arrivait tant bien que mal à slalomer entre les arbres.La Rodeuse prit ses affaires, lui enleva sa selle et ses autres équipements et lui fit ses recommandations, le renvoyant chez les siens.
Le magnifique cheval gris hennit et s'en alla.
Nenya vint alors et Enduril lui parla:
"Ces gens ne semblent pas mauvais, et leurs intentions sont bonnes. Ils cherchent le Nécromancien."
Nenya la regarda de ses yeux perçants.
"N'oublie pas ce que Gandalf a dit sur lui. Ne fais rien d'irréfléchi."
"Bien sûr. Voudrais-tu nous accompagner?"
L'Aigle ébouriffa ses ailes. Il était d'accord.
Elle mit son sac sur son dos, rabattit sa cagoule sur sa tête et se mit en marche, rattrapant les autres.
Ne voulant pas s'imposer, elle se tenait à l'écart, Nenya sur son épaule.

Valandra qui s'était reprise et compris la sotise dont elle avait fait preuve avec ce petit elfe prétentieux et imbu de sa personne qu'était Anglas.Totalement remise de ses émotions passées, elle lançait des regards noirs à Anglas.

Comment avait-elle pu se laisser duper par ce personage immonde alors qu'elle avait remarqué sa nature prétentieuse et machiste qui plus est? On ne l'y reprendrait plus de s'inquiéter pour un homme et que celui ci par sa nature profondement horrible en profite!

Les propos d'Idrial l'avaient amusés. Maintenant, le regard noir s'était reporté sur Anglas dans un premier temps, puis, elle avait détourné son attention d'Anglas et se concentra sur Narelas. Elle prit enfin la parole:

"Ce n'est pas que je veuilles vous déranger, loin de là cette envie, mais au lieu de nous chamailler, pourrions nous nous concentrer sur le Prince Narelas qui a grand besoin de nous? Le temps presse!"

En effet, elle en avait assez de toute cette histoire. Et elle s'inquiétait pour Narelas. D'ailleurs, Anglas et Legolas le devaient tout autant. Mais pourquoi pensait-elle sans cesse à Anglas? Elle devait y renoncer! Comment pourrait-elle aimer ce monstre? Ca lui paraissait inconcevable!

Sur le point de partir, Anglas et Bregoll avaient écouté le discours de Valandra. Anglas se retourna pour la regarder et lui lancer un sourire de remerciement et d’encouragement qui se figea aussitôt sur ses lèvres : elle le regardait comme si elle voulait en faire son quatre heures et son petit déjeuner du lendemain… C’était vraiment à n’y rien comprendre, quelques minutes avant, elle avait failli tourner de l’œil à l’idée qu’on lui avait fait une petite écorchure, et à l’instant, il était devenu l’ennemi public n° 1.
Et ben tant pis, 1 de perdue, 10 de retrouvées se dit-il. Bregoll attendait devant en sifflotant en compagnie de Radagast, devenu complètement muet.
Il les rejoignit et se concentra sur son frère en isolant son esprit complètement de son environnement. Il parvint par la force de la volonté à atteindre un état de clairvoyance objective et sans ralentir son efficience musculaire, il vit nettement l’araignée filer avec son cocon droit devant lui vers le Sud, Il évalua qu’elle avait au moins quatre heures d’avance, même en allant très très vite, ils ne la rejoindraient pas avant qu’elle ait atteint son but.
Ils marchèrent ainsi trois jours et deux nuits, en faisant de courtes pauses pour partager le contenu du sac à provisions, et ce qu’offrait la forêt, ils le consommaient sans pratiquement s’arrêter.
Les Elfes allaient a peu près bien, les Humains étaient à ramasser à la petite cuillère ou plutôt à la paille...

Maglor après une course aussi longue et continue, avait besoin d'un peu de repos mais se retint d'exposer ses pensées et s'approcha de Valandra qu'il surveillait beaucoup et lui dit : Est ce que tu vas bien mon amie? Pas trop fatiguée? Désolé de t'imposer un rythme aussi rapide, mais les elfes sont habitués à cela, malheureusement pour les humains en leur compagnie.
Puis il continua sa route aux côtés d'Anglas et lui demanda : Peux tu voir l'image de arelas en ce moment comme l'autre jour?

Apres la petite scene de "traduction qui sert a rien", Idrial n'avait plus ouvert la bouche. Elle s"etait contenté de suivre en bougonant que y en a marre, marre, marre!!
au bout des trois jour de course , elle ne pensait même plus a minauder qui que ce soit. Ses instincts de guerriere, et, sachons le, trés redoutée en lorien, etait revenus et tres aiguisés.
Tellement, qu'elle avait tres bien connaissance du balai d'ecureuils noir au dessus de leurs têtes. Ils ne les avaient pas lachés depuis que l groupe avait traversé la riviere au début de la chasse.
Le soleil ne parvenait même plus à emmener le moindre petit rayon dans les profondeurs de ces arbres, apparrement tres tres tres hauts...

Donc le N...... il ne faut pas le dire, savait tres bien où etait le ridicule groupe de guerriers a sa poursuite. Quand on y pense........
Une poignée d'elfes, hommes (pardon femmes) tous, c'est vrai, tueurs d'orques et autre cochonerie de l'ombre invétérés, qui se dirige droit sur le mal incarné, pour recuperer le petit frère!
Autant en etre totalement conscient, on est tous des barges.........
Mais bon, plus on est de fous.....!!!
La pression des ombres devenait insupportable, et puis plus personne ne parlait. Le quatrieme jour, la lumiere se faisait plus penetrante. On apercevait sans mal maintenant la fin de la forêt....Le groupe arrivait a l'orée d'une espece de grande clairiere, ou plutot non, une montagne.
Idrial fut submergée par une vague glacée . Elle sentit son coeur s'emballer et ses jambes voulaient faire demi tour et repartir dans l'autre sens aussi vite qu'elle y etaient arrivées...
DOL GULDUR

HRP: Hello ! Aujourd'hui, je suis exceptionellement présente et un ami m'a gentiment emprunté son PC et j'ai sauté ur l'occase pour ecrire un petit post en passant !!!

RP: Bien avant que Maglor s'apprche d'Anglas pour lui parler, Valandra essayait de se reprendre et de garder son calme. Ele ne savait pas pourquoi elle agissait de la sorte envers Anglas. pourtant, il lui plaisait, c'était indéniable. Même avec Rumil elle n'avait jamais agi de la sorte. Enfin, voilà, il fallait bien qu'elle le reconnaisse, elle ne l'avait jamais aimée.

Mais pourquoi se montrait-elle agressive avec Anglas? Elle ne s'était jamais comportée de la sorte avec un homme. Il etait vrai aussi qu'elle n'en n'avait jamais rencontré et quand elle en rencontrait, elle evitait leur présence.

Ellle lui devait des excuses. En effet, elle préférait l'avoir avec lui que contre lui! Bien que le côté rationel lui disait de se faire detester de lui ce qui faciliterait les choses, tandis que son côté irrationel lui disait de se faire aimer de lui, quoiqu'il arrive! Et selon toutes evidence, le côté irrationel dominait!

Elle s'approcha de lui et vit qu'il etait seul. Elle s'assura que personne ne regardait dans leur direction et elle lui dit à voix base la mine radoucie et rouge de honte:

"Je suis vraiment désolée Prince Anglas! Je ne sais pas ce qu'il me prend d'agir de la sorte! Je viens de vivre une expérience désagréable avec un homme. Et j'ai tendance à mettre tous les hommes dans le même sac! J'espère que vous m'excuserez!" Après tout reconnaîre ses torts etait une bonne chose. Mais elle devait le laisser se concentresur son frère opur qui il devait s'inquiéter. Elle rajouta:

"Je pense que je devrais vous laisser vous concentrer sur le danger qu'encourt votre frère. Et je le serais encore plus si il s'agissait du mien! Mais je tenais à vous pésenter mes excuses et que je sais reconaître mes torts! Et ce n'est nullement ue marque de faiblesse ce que j'ai fait, mais c'est ce qui fait ma force! Car il en faut beaucoup pour reconnaître ses torts! Et Dieu seul sait combien j'ai difficile de reconnaître mes torts!"

Elle ne lui laissa même pas le temps d'ouvrir la bouche car elle s'éloigna de lui. Elle remarqua que personne n'avait remarqué qu'elle avait avait parlé à Angals et quelques minutes plus tard, Maglor vint lui parer. Elle continuait à se demander ce qu'il ait bien à lui dire!

Mais ce n'était ni le moment, ni le lieu pour penser à ça et avant qu'il ne s'éloigne d'elle pour rejoindre Anglas, elle lui répondit aimblement:

"Ne t'inquiète donc pas! Je suis le rythme aisément. D'autant plus quand le temps presse et que la vie d'un enfant est en danger! J'ai un frère et je n'aimerais pas qu'on me laisse en plan si il m'arrivait la même chose! D'ailleirs, j'ai fait la promesse au Prince Anglas de faire tout ce qui était en mo pouvpir pour lui venir en aide et je compte bien relever mon serment!"

Ensuite, elle le vit s'approcher d'Anglas.

Décidement l'amour etait pour elle une chose bien mystérieuse. Pourquoi etait-elle attirée par lui alors qu'elle le considérait comme un véritable macho? Sans doute la magie du necromancien qui usait de ses charmes. Mais alors, pourquoi tout celà lui semblait-il ausi réel?

Ou alos etait-ce simplement la magie de l'amour, l'amour véritable que opuvait ressentir une femme pour un homme. Elle devrait avoir une petite discussino aec lui quand tout celà serait terminé et que le petit Narelas serait rentré sainet sauf. Pourquoi donc le sentiment agréable qu'elle pouvait ressentir lui parraissait tellement lointain qu'elle ne pouvait se mettre à l'evidence qu'il puisse ne pas partager les mêmes sentiments qu'elle?

Elle se reconcentra sur le but de la mission et espéra ne pas périr face au dager que toutes les personnes de la compagnie encouraient.

Bregoll suivait Idrial, de façon à pouvoir la retenir si elle défaillait de tant de fatigues, derrière eux venait Glaurfinn qu'il surveillait aussi du coin de l'oeil de temps en temps, car ce jeune garçon était en train de vivre l'enfer. S'il se sortait de cette aventure, il aurait mûri d'au moins dix ans ! Au-dessus de leur tête, des écureuils noirs les suivaient ou les précédaient avec des petits jacassements, il avait eu maintes fois envie de les embrocher sur une flèche, mais ces animaux avaient un comportement bizarre.
Idrial stoppa : ils venaient de sortir des bois inextricables et des arbres géants. Anglas, Maglor, Radagast, Valandra et Enduril étaient eux aussi arrêtés en train de contempler la bouche ouverte quelque chose que même les Dunedain et même les Noldor n'auraient pas su ériger : perchée sur un piton qui ne sortait d'aucune montagne, haute d'une centaine de rangar, et ceinte par un large et profond ravin : LA FORTERESSE DE DOL GULDUR, en pierres lisses et noires, hérissée de tours, percée de mille fentes étroites, décorée d'hideuses gargouilles, avec en son centre une immense flèche comme une lame d'acier surplombée surmontée par un immense dragon de bronze aux yeux rougeoyants.
Il savait que tôt ou tard, il devait venir en ce lieu, mais il n'avait pas prévu cela pour maintenant. Comme les autres il était muet de stupéfaction.

HRP : C'est totalement contre mes principes d'abonner... bref c'est la rentrée et je ne pourrais écrire que les mercredi et samedi... cruauté de la scolarité et des foutus devoirs à la ***. Désolée c'est involontaire. J'arrête sinon je vais pleurer.

Dol Guldur... Ainsi ils y étaient enfin arrivés. Ils étaient cachés par les arbres, les sentinelles ne les repérèrent donc pas.
La Rodeuse fut attentive à la structure de l'edifice. Concue de manière très particulière.
Elle put voir les aller-retour des sentinelles.
En analysant la situation, Enduril remarqua une sorte d'échelle de pierre, camouflée par des plantes noires. Elle se remémora les paroles de Gandalf lorsqu'il lui avait parlé du Mordor. Bien heureusement ce n'était pas là qu'ils étaient mais le Mal a toujours les mêmes desseins et la même façon d'agir, donc de construire.
"Il y a un passage pour entrer sans âtre vu au Mordor. Le passage de Cirith Ungol, mais les raccourcis peuvent parfois prendre plus de temps. Une créature garde ce passage, et l'éviter n'est pas aisé."
Il devait donc y avoir un passage pour entrer dans cette forteresse du Diable. Et un sympathique gardien.
Le groupe s'étant arrêté pour mettre au point un plan, Enduril s'assit en face de Dol Guldur. Après s'être restaurée, elle se leva et vint auprès du prince de Mirkwood.
"Je pars en éclaireur".
"Surtout ne te fais pas remarquer" lui répondit-il. Elle aquiesca et se dirigea vers ses affaires. Elle y prit quelque chose et se dirigea vers le jeune Glaurfinn.
"Il se peut que je ne revienne pas. Et un guerrier sans armes reste un guerrier aussi,continua la Rodeuse en lui présentant une épée au manche incrusté d'un fil d'argent et entrecroisé d'or ainsi que sin fourreau, je vous offre ce présent que j'ai, hum, réquisitionné à un Orque qui, j'en suis sure, n'en aura plus besoin là où il est. Mais il n'est pas de fabrication orque, je ne sais pas d'où il vient. Gardez-le en souvenir des Rodeurs de la terre du milieu. A bientôt j'espère"
Puis elle se releva et, Nenya la survolant au ras des arbres, elle se dirigea vers la demeure du Nécromancien.

HRP: aux flics du RP, j'ai échangé la hache en question par l'épée que j'ai donnée à Fràr, alors...

Le premier problème était de passer le ravin.
Si Enduril y descendait pour le remonter de l'autre côté, autant s'y jeter carrément en hurlant " COUCOU C'EST BIBIII!!!". (hrp: pardon j'ai pas pu m'en empêcher)
Elle vit qu'un peu plus loin, la distance entre les deux parois était moins grande.
Mais c'était quand même un sacré bond... qui pouvait finir en bas du ravin.
Mais n'ayant pas d'autre passage,la Rodeuse prit son élan et bondit..
Elle survola le vide... sentit le sol de l'autre côté... qui la fit glisser.
Elle s'agrippa instinctivement et put remonter.
Déja un ennui de moins. Mais un autre arrivait déja. En bas de la falaise se tenaient deux Orques.La fête commençait.

Il ne fallait pas qu'ils puissent donner l'alerte. Enduril prit donc un petit rocher et le jeta dans la direction opposée. L'astuce marcha et les deux orques se levèrent d'un bond, leurs armes à la main. La Rodeuse bondit, enfonça son poignard dans le cou du premier, et trancha la tête du second. Ils s'écroulèrent à terre, et la Rodeuse continua sa route, Nenya étant resté en arrière.

HRP: Eh oui, c'est Noël après l'heure pour le moment et j'ai pu venir sur le net 3 fois sur la semaine au lieu d'une fois !!! Malheureusement, ca ne pourra pas se produire tout le temps !!! Mais je ferai mon possible pour venir un peu plus sur le net !!! Et vous avez toujours mon autorisation de faire déplacer mon perso ! Surtout si sa vie est en jeu !!!

RP: Valandra etait en admiration devant l'adresse de la rodeuse. Elle s'en sortait très bien! Beaucoup mieux qu'elle ne s'en serait tiré elle-même! Il etait vrai aussi qu'Enduril avat l'ar plus vielle qu'elle et celà elle en était sûre par la balafre que striait son visage avoir plus vécu qu'elle.

Mais elle ne perdrait pas courage pour autant. Elle aussi prouverait sa valeur. Bien qu'elle ait peur de ce qu'il l'attendait dans cette demeure, car il était vrai aussi qu'elle n'avait jamais combattu d'orques et que le seul monstre qu'elle avait combattu s'était soldé par un echerc et son acte n'avait eu pour but d'agraver les choses.

De toute façon, quoiqu'il advienne, elle tiendrait la parole qu'elle avait fait à Anglas même si elle donnait sa vie pour celà. Voilà quels étaient les devoirs d'un guerrier qu'elle tiendrait quoiqu'il arrive!

Elle était à présent concentrée sur le danger et ne regardait plus Anglas. D'ailleurs, ce n'était n le lieu ni le moment de se demander quelle avait été sa réaction à ses paroles! D'ailleurs, elle n'avait rien à cacher à personne. Et le fait qu'elle lui avait parlé de ses differents avec Rumil ne l'etonnait pas bine qu'il fut le premier homme à qui elle en avait parlé. Le côté rationel de sa personalité lui disait de renoncer à Anglas et espéra quil ne partageait pas ses sentiments tandis que le côté irrationel lui disait d'aimer Anglas envers et contre tous et qu'il l'aime et le problème était que l'irrationel dominait. C'est à ce moment là qu'elle se rendit compte qu'elle le regardait à nouveau. Et ca ne l'aurait pas gênée si il n'avait pas regardé dans sa direction.

Mais pour l'instant, elle s'en fichait et se concentra sur la danger qu'ils encouraient tous et elle attendit toutes réactions de autres qu'elle suivrait.

HRP: haa j'ai pu moi aussi venir aujourd'hui (merveille des merveilles)

Après avoir liquidé les deux premières sentinelles, Enduril s'avança aussi silencieusement qu'elle le pouvait. Nenya était finalement retourné avec les autres, car ils se ferait aisément repérer s'il la survolait. La Rodeuse s'arrêta près d'un buisson de ronces et nettoya le sang de son poignard et de son épée.
Elle était de bonne humeur, et ne savait même pas pourquoi. Il n'y avait pas de quoi, devant cette forteresse imprenable. En regardant la lame de son poignard, elle le vit luire, cette lueur bleutée s'intensifia et la Rodeuse sut que des Orques se dirigeaient vers elle.
Avant, elle aurait bondit sans se soucier du nombre.
Mais depuis qu'elle avait eut sa cicatrice, elle s'était un peu assagie.
Elle banda donc son arc de 3 flèches. 5 orques, énormes, répugnants s'avançèrent en se disputant.
La Rodeuse attendit. L'un d'eux frappa un plus petit qui s'effondra, sonné. Les autres lui sautèrent dessus. La Rodeuse tira. La première flèche et la deuxième se fichèrent dans le cou de l'orque qui avait frappé, la trosième dans l'oeil d'un autre. Abasourdis, les trois restant, prirent un moment avant de comprendre ce qui se passait. Puis ils se ruèrent vers l'endroit où semblait être le tireur embusqué. Entretemps, Enduril s'était mise de l'autre côté et tira deux flèches qui atteignirent leurs buts. Deux de moins.
Le dernier sortit son épée. Il avait vu la Rodeuse et s'approcha lentement.
Enduril sortit également son épée. La lame brillait d'un éclat froid. Meurtrier.
Le tout étant de faire le moins de bruit, elle ne s'amusa avec l'orque, elle feinta une attaque de droite et enfonça son épée dans le ventre de son assaillant.
Elle retira son épée. L'orque s'écroula par terre.
La Rodeuse essuya son épée en l'enfonçant dans le sol. Elle récupéra ensuite les flèches qui ne s'étaient pas brisées et regarda dans la direction où le groupe d'orques étaient venus. Il semblait ne plus y avoir de gardes jusqu'au passage.
Elle estima qu'elle avait bien nettoyé la route et s'assit, attendant le reste de la compagnie.

HRP: Donc je serais de retour mercredi si tout va bien. Vous pouvez faire agir mon perso tant que Eldendil/Anglas ne l'a fait pas danser devant l'entrée de Dol Guldur . ( de toute façon elle n'y arrive pas ) A+!!!

tu es retournée au palais avec Legolas et Solosimpë.

Lorsqu’Enduril fonça vers la forteresse, seule, Bregoll constata sans surprise qu’il était sur la même longueur d’ondes qu’Anglas, car lorsqu’ils se regardèrent, ils avaient tous les deux la bouche ouverte sur le même cri muet de stupéfaction. En ce qui concernait Bregoll, cette stupéfaction était engendrée par cette démonstration d’intense inconscience. A quoi était-elle due ? A la nature féminine ou aux caractéristiques d’une race humaine, ou les deux ? Avant même que tout le monde ait pu se réunir pour discuter de la situation, définir une stratégie, etc. Cette femme était partie abattre une demi-douzaine d’orques, toute seule, avec ses petites flèches et sa petite épée… Il se retourna et crut déceler un sentiment d’admiration parmi ses collègues. L’humaine, après tout, c’était peut-être normal, mais les Elfes et le Magicien, il était persuadé que dans leur boite crânienne il y avait une énorme quantité de matière grise, mais apparemment, il n’en était rien… Il se retourna vers Anglas et dit : Que pensez-vous de la situation, Prince ?

Juste avant le coup hallucinant d’Enduril, Anglas avait une fois de plus exploré le velours noir des yeux de Valandra de son regard violet foncé, lui donnant les nuances les plus chaudes qu’il connaissait, et, cette fois ci, il se sentit le bienvenu. C’était décidément bien difficile cette psychologie humaine.
Puis il reporta son attention sur Enduril qui lui dit sans attendre ni réponse ni autorisation, qu’elle " y allait ". Hé ? Elle allait où ? Et il comprit lorsqu’il la vit foncer vers les douves, y descendre, au risque de se casser deux bras et deux jambes plus la tête, remonter, et faire leur fête à quelques orques qui traînaient dans le coin.
Il avait pas vraiment vu ça comme ça. Lorsque Bregoll, apparemment aussi éberlué que lui, lui demanda ce qu’il en pensait, il avala avec difficulté sa salive et lui répondit :
Et ben ce que j’en pense, c’est que justement on ne peut plus trop penser désormais ! Je suis interloqué par ces manières. Moi je voyais plutôt cela genre " on fait équipe, on fait tout ensemble et on va peut-être gagner " voyez le genre ? J’aurais bien aimé que Radagast sonde un peu la forteresse pour arriver à localiser mon frère, pour dire combien à peu près on allait devoir affronter et quel genre de monstres avenants étaient tapis à nous attendre avant de parvenir à cette araignée.
Car, je suis peut-être un peu bêbête, mais il me semble que l’on nous a tendu un piège, et que l’on nous attend. Qui est " l’on " : ?
(Anglas fit un bruit de bouche que Valandra ne trouva pas très elfique, mais ça tombait bien, comme elle ne comprenait pas le Sindarin, qu’elle s’était d’ailleurs juré d’apprendre dès qu’elle le pourrait, ça au moins elle avait compris).
Anglas reprit
Si vous êtes tous d’accord, je crois que cela ne sert plus à rien de tergiverser, nous allons la rejoindre et nous aviserons au pied des murs, et je vous en supplie, ne vous jetez pas dans le ravin, Bregoll qui est le plus grand descendra en premier, et il nous aidera un à un, et pour remonter de l’autre côté, nous nous ferons la courte échelle. Idriall, pouvez-vous traduire à Valandra s’il vous plait ?
Il lui adressa un sourire chaleureux en disant cela.