Les Sentiers de Mirkwood

Maglor sentait que Valandra avait fait un pas un peu trop bruyant, il avait entendu des petits chuchotements. Il fit signe à Valandra de se baisser, Il sortit une fléche lentement et se prépara avec son arc. Il s'avanca doucement se baissa et attendit. Il tenta de percer l'obscurité de la forêt ainsi que les feuilles mais rien. Il sifflota un petit coup pour savoir si des elfes pouvait venir l'aider au cas ou il s'agirait d'un ennemi.

Valandra quand Maglor lui avait demandé de se basisser s'executa. Mais elle n'etait pas à son aise et se demanda si elle ne devait pas sortir l'epée qu'elle avait eu la présence d'esprit de prendre avec elle.

Celà pouvait être pris comme une marque d'hostilité et justement si ces personnes etaient hostiles, celà pouvait tout changer! Elle mis sa main sur l'épée et attendit que quelque chose arrive. Elle espera quand même que rien n'arrive car elle ne savait pas ce qui allait les attaquer ni le nombre qui allait l'attaquer.

Elle espera vivement que tout ceci etait une fausse alerte, mais s'il le fallait elle se battrait le plus vaillament qu'elle le pourrait.

Une fois Anglas et Legolas disparus, Solosimpë se mit à la recherche d’un arbre pour mettre les jeunes à l’abri, comme le lui avait demandé Anglas. Il était un peu stressé, car il n’avait pas osé le dire à son maître, mais il trouvait qu’il avait exagéré la cadence, l’avait-il fait exprès pour mater son frère ou n’avait-il pas réalisé que l’effort demandé était trop important pour leur stature ? Il ne pouvait répondre, mais il éprouvait de la compassion pour eux. Il leur dit :
Vous avez entendu le seigneur Anglas ? Il pense qu’il est plus sage que vous vous abritiez en hauteur, vous êtes encore trop jeunes pour vous lancer dans un combat, on va trouver un arbre adéquat Narelas qui boudait en faisant des ronds avec le bout de son pied lui répondit :
c’est vraiment pas juste. Anglas il venait juste de nous dire qu’il avait notre âge quand il était à Dagorlad, alors pourquoi nous on a pas le droit de mettre des baffes aux orques ?
- Je ne vais pas polémiquer avec vous jeune homme, moi j’ai un ordre de mon patron et vous vous avez un ordre de votre frère. Un point c’est tout. Tiens justement, j’en vois un qui va peut-être faire l’affaire, mais je vais vous faire la courte-échelle pour atteindre la première branche qui est un peu haute, ce sera l’assurance que les autres saletés n’essaieront pas de nous poursuivre.
Je vais hisser Narelas en premier, et toi Glaurfinn, comme tu as l’air très fatigué, Je te hisserai après et Narelas pourra te tirer. Ensuite je monterai moi aussi sur la branche et après, il faudra progresser et monter le plus haut possible. Dac ? Vous pensez que ça va aller ?
Glaurfinn répondit qu’il avait très mal aux jambes mais qu’il allait quand même essayer et Narelas qui ne disait rien par fierté, n’en menait pas large non plus.

Idrial etait sortit du palais depuis un moment suivant les ordres du roi : retrouver le groupe qui cherche un site pour la fête.`bien,bien,bien
alors , par où sont ils partis?
Idrial sentit alors une ombre s'avancer..........
elle apercut au loin l'humaine baissée et, devant elle, regardant vers le sud, le dénomé Maglor, celui qui lui avait demandé de cesser de taper sur la porte royale.........
IL avait l'air aux agués. lorsque qu'Idrial entendit qu'il sifflait. Elle ne savait pas trop ici, mais chez elle, siffler veut dire : ATTENTION BASTON !!!!
elle se precipita donc aux cotés de Maglor, ses dagues sorties et pretes a taper...
puis se retourna et s'adressa a la jeune humainea voix basse :
" C'est une technique de combat d' humain que de rester accroupi pour se battre ? ne vous vexez pas tres chere, mais je vous trouve un peu en danger, là ,en fait.... ne voulez vous pas vous relever, ou alors vous preferez peut etre etre defendue par ce beau guerrier ?? Elle regarda alors Maglor : " vous voulez de l'aide ou je derange?"

Depuis déja un bon moment Glorendil suivait Anglas et sa petite troupe qui n'était vraiment pas au point au niveau dicrétion surtout les deux jeunes elfes. Glorendil se sentait un peu triste d'avoir laissé son compagnon de route, son maeras... Mais suivre ce groupe sans qu'il puisse le savoir lui procurait beaucoup de bhoneur. Son paquetage était trés sommaire, un sac qui contennait des lembas une dague, une flutte et de l'eau de source, par dessus un carquois emplit de flèche blanche et pour finir son arc son magnifique arc. Restant toujours aux aguets, il essayais de se faire le moins du monde remarqué par la faune.

Valandra quand elle avait vu ces elfes fut un peu rassurée. Mais rien ne lui prouvait qu'ils n'étaient pas une menace pour eux. L'elfe qui l'avait accompagnée n'avait pas le moins du monde l'air menacé. Il devait les connaître.

D'ailleurs, les elfes avaient plus l'air intrigués qu'autre chose par sa présence. Decidement, elle ne s'était pas imaginée le moins du monde de susciter autant d'hostilité à son egard!

Enfin hostilité n'était pas le mot approprié. Celui qui le paraissait plus etait méfiance. Mais cette fois-ci, elle avait un argument tout à fait plausible: c'était le Roi Thranduil en personne qui l'avait convié à ces festivités. Et l'homme elfe qui l'accompagnait etait avec elle pour etayer ses dires.

Elle garda la main sur le pommeau de son épée ne sachant comment réagir et attendit une réaction de l'homme qui l'accompagnait et qui ne s'était toujours pas présenté à elle.

Et de toute façon, rien ne prouvait que le danger venait de ces elfes. Un autre danger les attendait très certainement!

HRPG: Merci MJ de nous fourrer dans les problèmes jusqu'au cou !!!

RPG: Valandra n'hesita plus un seul instant. Elle sortit son epée et le dirigea vers le danger qui approchait. Elle ne savait pas de quoi il s'agissait mais elle devait combattre l'enemi. Car c'en etait un à ses yeux! Et très certainement à juste titre.

Le temps passait et Solosimpë se dit qu’il devait maintenant et tout de suite agir. L’inquitétude faisait partie de sa nature d’Elfe, mais maintenant il commençait à ressentir une menace indéfinissable mais de plus en plus oppressante. Il tourna Narelas vers l’arbre, et le saisissant par les hanches, le hissa le plus haut qu’il lui était possible. Narelas tendit les bras et de justesse parvint à saisir la branche, puis d’un coup de reins, il réussit à placer son genou et enfin à s’asseoir à califourchon en sécurité. Solosimpë venait de saisir Glaurfinn de la même façon, et au moment où il criait vers Narelas pour qu’il se couche et tende la main pour récupérer Glaurfinn, il s’écroula brutalement, touché à la tête par un jet de pierre. Glaurfinn qui n’avait pu atteindre Narelas s’écroula sur Solosimpë en même temps sans rien comprendre à ce qui lui arrivait. Narelas réalisa que quelque chose tournait mal et sans tenir compte de son cœur qui voulait lui faire exploser la proitine, il se rua comme il pouvait vers le haut de l’arbre, de branche en branche, comme aurait pu le faire un écureuil, sans prêter attention aux écorchures et aux égratignures.

Quand ces créatures qu'elle n'avait jamais vus s'approchèrent d'elle Valandra que le danger etait autour d'elle et qu'elle ne serait pas à même de combattre seule. Elle ramassa deux pommes de pins et les lança vers la créature qui se trouvait devant elle et une autre sur le flanc droit bien que celà ne fit pas beaucoup d'effets, tout en reculant vers les elfes dont elle ne pouvait voir leur réaction.

Il valait mieux ça que de se retrouver avec 3 de ces créatures qui bien qu'elle paraissaient niaises et idiotes seraient un danger pour elle. C'était autre chose que les craintes qu'elle avait pu avoir quand elle s'était retrouvée avec 4 flèches pointées sur elle!

Anglas et Legolas avaient finalement rejoint Earwen qui s’était arrêtée à quelques pas de la rivière et qui regardait intensément vers l’Est là où la forêt s’élargissait au pied des collines qui perdaient de la hauteur. Elle avait son arc prêt à tirer mais elle les vit et leur dit en chuchotant qu’elle avait entendu des orques dans ce coin.
A ce moment là, tous trois entendirent dans la direction d’où ils venaient des sifflements caractéristiques. Ils étaient trop loin pour comprendre leur signification mais ils étaient émis par l’un des leurs. Anglas dit à Earwen et Legolas :
vous avez entendu, il y a quelqu’un qui nous suit. Je n’étais pas au courant, ces sifflements ne me disent rien de bon. Vite, allons voir ce qui se passe
Anglas et Legolas saisirent leurs dagues et repartirent de là où ils venaient aussi vite qu’ils le pouvaient, c’est-à-dire très très vite.